Le Zéro et l’Infini sont l’inverse l’un de l’autre (introduction du livre…)

Cet article reproduit l’introduction du livre (pages 6 à 21) intitulé :

Générescences,
Nombres entiers variables,
Corps omégacyclique (ou cyclofractal)
et Division omégacyclique par Zéro

(Version du 16 janvier 2023 révision b
Source : hubertelie.com)

Précédemment publié, l’avant-propos du livre en question :
Le Paradigme de l’Affirmation et le Paradigme de Négation


Vous êtes peut-être « tombé(e)» sur ce livre parce que votre attention a été attirée sur un de nos écrits ailleurs sur la problématique de la division par 0.

Si c’est le cas, alors vous êtes au bon endroit. Mais si tel n’est pas le cas vous êtes au bon endroit aussi, pour comprendre enfin la vérité sur les nombres.

Et comprendre les nombres c’est comprendre l’Univers, et plus que cela c’est comprendre l’Univers TOTAL. La définition scientifique que nous lui donnons est l’Ensemble de TOUTES les choses et de TOUS les êtres, la Réalité TOTALE, l’Etre TOTAL, l’Etre SUPRÊME. C’est ce que nous entendons scientifiquement par le mot DIEU.

Nous reviendrons amplement sur cette définition, nous l’expliquerons et donnerons à comprendre comment ce concept change complètement la vision des choses et la compréhension du monde, à commencer par la manière de faire la science, car c’est tout un Nouveau Paradigme.

Un paradigme est une représentation du monde, une vision, une conception. Et avec le concept d’Univers TOTAL, c’est vraiment une nouvelle vision de l’Univers et des choses, une nouvelle vision de la Réalité, une vision d’une Nouvelle Réalité.

L’Univers TOTAL est le Grand TOUT, le Zéro et l’Infini, le Vide et le Plein, le Rien et le Tout, le Néant et l’Existence, etc., et nous résumons tout cela en disant simplement qu’il est l’Alpha et l’Oméga. Il est TOUT, d’un extrême (qu’on l’appelle le Zéro, le Vide, le Rien, le Néant, etc., ou autre) à l’extrême complètement opposé (qu’on l’appelle l’Infini, le Plein, le Tout, l’Existence, etc.,
ou autre).

Ce que l’image précédente montre, au sujet de la prétendue « impossibilité » de diviser par zéro, comme par exemple faire la simple division de 1 par 0, donc 1/0, c’est tout bonnement la question de l’infini, car le résultat de cette opération c’est l’INFINI, c’est la définition arithmétique de la notion d’infini. Pour vous en convaincre, prenez votre calculatrice, et divisez à chaque fois 1 par des nombres positifs de plus en plus petits, donc tendant vers 0, comme par exemple: 0.5, 0.2, 0.1, 0.01, 0.001, 0.0001, 0.000001, etc. Autrement dit, faites 1/x, avec x tendant vers 0. Vous aurez des résultats de plus en plus grands, autrement dit qui tendent vers l’infini, comme on dit. Ici, respectivement: 2, 5, 10, 100, 1000, 10000, 1000000, etc. Autrement dit, si x tend vers 0, alors 1/x tend vers l’infini. Si x est négatif, alors 1/x tendra vers moins l’infini, et si x est positif, alors 1/x tendra vers plus l’infini. Et de même, si x tend vers l’infini, alors 1/x tend vers zéro. Si x est négatif, alors 1/x tendra vers -0, et si x est positif, alors 1/x tendra vers +0.

Dans le Nouveau Paradigme, pour désigner l’infini, nous utilisons la lettre grecque oméga, ω en minuscule et Ω en majuscule, comme un symbole numérique à part entière, exactement comme 0 ou 1 ou 2 ou 3, etc., sont des symboles numériques à part entière. D’ailleurs c’est ainsi que l’on note le nombre infini de base en théorie des ensembles (on en reparlera).

Ce qui déjà n’est pas du tout normal, c’est que, dans un domaine des mathématiques (théorie des ensembles, théorie des ordinaux et des cardinaux, etc.), on utilise un symbole numérique à part entière, à savoir ω, pour désigner une notion d’infini, mais que dans un autre domaine (notamment en analyse par exemple, ou en topologie et autres), on utilise l’habituel fallacieux symbole «» (appelé une lemniscate mais en réalité c’est l’occulte symbole Ouroboros qui est noté ainsi, comme on en reparlera), qui ne représente pas un nombre à part entière mais un pseudo-nombre. Sinon sa définition serait tout bonnement l’égalité: ∞ = 1/0, qui est interdite dans les mathématiques actuelles. En effet, cette écriture voudrait techniquement dire que ∞ est l’inverse de 0, et aussi que 0 est l’inverse de ∞, autrement dit 1 divisé par l’un donne l’autre et vice-versa.

Mais bien au contraire, le symbole « » sert souvent à représenter l’idée d’un nombre non défini, notamment l’idée que la fonction inverse, c’est-à-dire 1/x, est non-définie en 0, car justement elle y prend une valeur infinie! Une valeur infinie donc, positive comme négative, comme le montre l’image précédente. En effet, la courbe monte vers « +∞ » à droite et descend vers « -∞ » à gauche. Dans les paradigmes classiques, il suffit de l’une ou de l’autre des valeurs « +∞ » ou « -∞ » (et à plus forte raison les deux, comme pour la fonction inverse 1/x), pour que l’on dise que la fonction n’est pas définie au point où la valeur infinie est prise.

Le moins qu’on puisse dire, c’est que l’on déteste les valeurs infinies dans ces paradigmes, or ces valeurs ne sont rien d’autre que les inverses des valeurs zéros. Pourquoi donc on accepterait les zéros et pas les infinis? Autrement dit, pourquoi accepterait les alphas et pas les omégas, qui ne sont juste que leurs inverses? Ce n’est pas du tout logique!

D’autant plus que par ailleurs, en théorie des ensembles ou des ordinaux et des cardinaux, on parle bel et bien d’une notion d’infini, comme par exemple l’infini « aleph zéro » noté 0 et plus souvent noté ω, l’infini oméga donc. La preuve dans cet article de Wikipedia sur les ordinaux:

Nombre ordinal (Wikipedia)
(archive PDF ici)

On a donc bel et bien un ordinal (c’est-à-dire simplement un nombre entier au sens le plus général du terme, à savoir nombre entier fini ou infini), oui un ordinal infini, noté ω dans la théorie des ordinaux (ou théorie générale des nombres entiers), mais qui, très étrangement, n’est pas rattaché à une opération arithmétique ou algébrique élémentaire de division par zéro! On continue de raconter jusqu’à aujourd’hui, au moment même où nous insérons ces lignes en janvier 2023, que la division par 0 est « impossible », alors que la définition arithmétique, algébrique et analytique même d’un nombre infini, c’est d’être l’inverse d’un nombre zéro et vice-versa. Autrement dit « 1 divisé par un nombre zéro donne un nombre infini, et 1 divisé par un nombre infini donne un nombre zéro».

Ce qui, dans une science plus divine, une science qui repose sur Dieu l’Alpha et l’Oméga, s’illustre ainsi, en toute simplicité biblique, à savoir donc : « 1 divisé par un nombre Alpha donne un nombre Oméga, et 1 divisé par un nombre Oméga donne un nombre Alpha».

On retrouvera souvent cette image. Voici une version plus détaillée et plus technique de ce qu’elle veut dire, et que ce livre explique techniquement, en long et en large, sous tous les angles:

Si en 2023 les mathématiques et les sciences n’ont toujours pas compris cela ou non pas encore trouvé le moyen de diviser par zéro, c’est qu’il y a forcément un BUG quelque part dans les paradigmes classiques, quelque chose est FAUX. Nous allons bien comprendre le problème de paradigme dans ce livre.

Et comprendre aussi qu’un système de savants pris individuellement (dont certains très savants et très intelligents comme par exemple Euler, Einstein, etc.) n’est pas collectivement nécessairement savant, mais peut bien être un système de moutons de Panurge. Un système de professeurs Shadoko (de la célèbre animation Les Shadoks, connue en France) :

La raison est que tous suivent les mêmes paradigmes erronés qu’aucun d’entre eux ne remet en question, souvent par peur de perdre leur prestige et leur chaire de Professeur respectable. Par exemple, même si beaucoup sont très sincères, comme exemple Einstein dont on ne doutera pas de la sincérité, ou même sont très croyants (en Dieu) comme en fait l’étaient et le sont encore beaucoup de grands scientifiques de nos jours (les génies comme Euler, Cantor, Gödel, et j’en passe étaient des croyants), vu que ce n’est pas l’esprit divin qui gouvernent les sciences, et c’est le moins qu’on puisse dire, ils mettent Dieu de côté et suivent des paradigmes qui passent pour des paradigmes de laïcité, mais qui en réalité sont des paradigmes lucifériens, anti-Dieu! Ces paradigmes ont été volontairement posés de telle sorte que les questions de Dieu ou du Diable soient exclus des sciences. Or on n’a pas à exclure aucune question d’office du champ des sciences, mais laisser simplement la science être ce qu’elle doit être! A savoir une Connaissance Exacte, une Connaissance Véridique, bref la Vérité! Mais ce n’est clairement pas le cas, à la lumière de ce que nous démontrons aujourd’hui.

Ce serait donc un moindre mal si ce n’était qu’un problème de système de professeurs Shadoko, où chacun pris individuellement peut être beaucoup plus inintelligent que la collectivité. Un système où la somme des plus grands savants peut n’avoir que l’intelligence d’un mouton, et pardon pour le mouton. Le pire est que dans le tas il y a de vrais génies du mensonge et du mal, qui ont bâti non seulement les sciences mais tout le système à leur image:

Les autres, qui peuvent être très géniaux aussi, très sincères, se soumettent à ces paradigmes orwelliens, sans souvent oser trop s’en écarter de peur de se faire taper sur les doigts, ostraciser, tuer socialement. On le voit plus que jamais à l’heure du Covidisme, où la nature cachée de ce système se
voit plus que jamais.

On pourrait penser que ceci n’est possible que dans les domaines comme la médecine, la santé, etc., mais que la physique et à plus forte raison les mathématiques, échappent à cette falsification de la Vérité. Mais hélas, non, car c’est justement dans les sciences dites « dures » que cette falsification était la plus cachée et la plus sournoise, la plus difficile à détecter en raison de la plus grande confiance qu’ont ces sciences dites « exactes ». Alors qu’en fait les preuves de leur inexactitude étaient juste sous nos yeux, comme un éléphant dans un couloir ou caché dans un terrain tout plat :

Eh oui, la simple division 1/0 fait partie des nombreuses preuves que mêmes les mathématiques étaient frelatées dans leurs paradigmes mêmes! Nous nous devons de dire cette vérité aujourd’hui, ne serait-ce que pour rendre hommages aux mathématiciens, logiciens, physiciens ou scientifiques de tous les temps, qui étaient très sincères, mais qui ignoraient travailler dans des paradigmes mensongers, imposés par des esprits de Négation. Et que nient exactement ces esprits? Très simple et nous commençons à le voir et le verront encore: l’Univers TOTAL, l’Alpha et l’Oméga, le Zéro et l’Infini. La définition scientifique donc de la notion de DIEU, oui le Dieu INFINI, le DIEU que le seul mot « INFINI » évoque! C’est donc la question cachée dans la question de la division par zéro, et les initiés qui ont tenu et tiennent toujours que cette division reste interdite en mathématiques et sciences, savent la vraie raison, qui n’est pas la raison technique ou logique qu’ils ont toujours mise en avant.

Car techniquement, la logique nécessaire pour diviser est d’une simplicité biblique, la simple Logique du Cycle suffit, oui la bonne vieille Logique du Cercle! A plus force raison si l’on y associe la Logique Fractale. Toutes sont des aspects d’une logique plus générale, la Logique de l’Equivalence (dont on reparlera amplement) et que nous nommons aussi la Logique d’Alternation ou Logique d’Affirmation, par opposition donc aux habituelles logiques de Négation (de négation de l’Univers TOTAL donc), avec lesquelles on a choisi de faire la science depuis l’antiquité grecque (voir la série d’audios: Science de l’Univers TOTAL: la rencontre entre la science hébraïque (biblique) et la science gréco-romaine).

Avoir enfin la Lumière scientifique sur la question de Dieu, c’est commencer aussi à avoir la lumière sur la question du Diable, qui est la Négation de Dieu. C’est comprendre enfin l’Univers et les choses, la vie, le monde, le bien, le mal, bref tout ce que les sciences de ce monde ne vous ont jamais expliqué, car ce sont justement les sciences de Négation, autrement dit du Diable.

Le présent livre fait partie des livres traitant de la Science de l’Univers TOTAL, ou Théorie universelle des ensembles, un nouveau paradigme scientifique, comme déjà dit. Le Nouveau Paradigme est donc le concept d’Univers TOTAL, et la Science de l’Univers TOTAL est publiée au site hubertelie.com, mais aussi aux blogs de mes proches associés, comme les blogs Nouvelle Genèse, et Pour notre Monde d’Alternation, et Amour de la Vérité.

Ce livre est la continuité des trois livres précédents :

L’Univers TOTAL l’Alpha et l’Oméga;
L’Univers TOTAL et les nombres omégaréels;
Conception générative des entiers, structure réalie.

A cela il faut ajouter le livre :
La Théorie des Univers, l’ancêtre de la Théorie universelle des ensembles.

Celui-ci présente une théorie axiomatique des ensembles, la Théorie des Univers, faite avec les paradigmes classiques, et notamment les courantes logiques de Négation. Les livres précédemment mentionnés expliquent amplement le problème de la Négation, qui est un problème de paradigme. Nous en reparlerons souvent aussi dans le présent livre et on aura ainsi une assez bonne idée de la question, ce qui ne dispense pas de consulter les livres d’avant pour plus de détails.

La Théorie des Univers, faite donc pourtant dans les classiques paradigmes de Négation, et dont un aperçu sera donné aussi dans le présent livre, est bien plus forte que la classique théorie axiomatique des ensembles de Zermelo-Fraenkel (ZF). C’est la Théorie des Univers qui a évolué vers la Théorie universelle des ensembles, faite avec la nouvelle logique d’Alternation, qui a été elle aussi amplement développée dans les livres précédents (notamment dans L’Univers TOTAL l’Alpha et l’Oméga), en même temps que l’examen du problème de la Négation. Nous n’en reparlerons que sommairement dans ce livre. Tous ces livres et documents PDF sont disponibles au site hubertelie.com.

Le mot-clef de la Théorie universelle des ensembles ou Science de l’Univers TOTAL est chose, en anglais thing (comme dans les mots anglais something ou « quelque chose », anything ou « n’importe quelle chose », everything ou « toute chose » ou « toutes les choses », etc.).

Une chose est tout ce que l’on conçoit, tout ce dont on parle, bref c’est le mot clef le plus fondamental, celui choisi pour la nouvelle Science. Nous aurions pu choisir aussi le mot objet comme mot premier, ou les mots être, entité, etc.

Une chose est une chose, un objet est une chose, un ensemble est une chose, un être est une chose, une entité est une chose, un truc est une chose, un machin est une chose, un bidule est une chose, etc. Un ordinal est une chose, une information est une chose, un nombre (qu’il soit entier, « non entier », rationnel ou « irrationnel », réel ou « imaginaire », « complexe » ou simple, etc.) est une chose, et c’est là où nous voulons en venir dans ce livre, oui la notion de nombre ! Ou plutôt y revenir avec plus de profondeur encore, car la notion a déjà été traitée amplement dans les livres précédents, et nous avons montré et démontré que toute chose est un ensemble, que toute chose est un nombre ! Mais ici nous découvrons avec plus de profondeur cette très importante notion de nombre, de numérique, et tout simplement d’information, étant donné que nous vivons justement à l’ère de l’information et du numérique.

Il ne s’agit pas ici de l’intelligence artificielle (ou IA) ou abstraite des nombres ou des choses, comme dans les sciences, les mathématiques, l’informatique et la technologie actuelles. Il s’agit maintenant de l’intelligence réelle (ou IR) ou concrète des nombres ou des choses, d’une intelligence divine (ou ID). Il s’agit tout simplement d’une nouvelle Science, de la nouvelle manière de faire la Science, oui de l’Univers TOTAL le Nouveau Paradigme.

A la découverte donc des nombres entiers naturels variables, ou dynamiques, élastiques, que nous appelons aussi les variens, par opposition aux classiques entiers naturels constants, fixes, statiques, que nous appelons les constens.

Et maintenant le deuxième mot clef, le mot ensemble au sens universel du terme et la notion associée, celle d’élément, au sens universel aussi.

Un ensemble est une chose formée d’autres choses appelées ses éléments. Et au regard de cette définition toute chose est un ensemble, puisqu’elle est au moins formée de la chose qu’elle est elle-même. Et la chose formée de TOUTES les choses est donc l’Ensemble de TOUTES les choses, et c’est cet Ensemble Suprême que par définition nous appelons l’Univers TOTAL, noté U:

Ce qui est illustré là est le théorème fondamental de l’Univers TOTAL. Il découle directement de sa définition, à savoir donc l’Ensemble de TOUTES les choses. De par sa définition même, toute chose est un élément de l’Univers TOTAL, ce qui s’écrit simplement dans le formalisme de la théorie des ensembles: ∀x(x ∈ U).

La variable très générique x ici s’interprète comme « chose ». Cette formule se lit donc: Quelle que soit la chose x, x est un élément de U. Autrement dit: Toute chose est un élément de U, ou encore: Toute chose appartient à U, ou encore: Toute chose existe dans U, etc.. C’est cela l’énoncé du Théorème de l’Existence ou la Loi de la Réalité TOTALE (on y reviendra plus tard).

La notion absolue et scientifique d’existence est ainsi définie par la même occasion, à savoir donc exister c’est être un élément de l’Univers TOTAL, l’Ensemble de TOUTES les choses. Donc exister, au sens absolu de la notion d’existence, c’est être une chose. C’est cette notion ensembliste, mathématique (donc rigoureuse), scientifique, absolue, universelle, objective, de la notion d’existence, qui importe pour nous désormais, et non plus les notions philosophiques, subjectives, spéculatives, etc.

C’est très important quand il s’agit de répondre maintenant à la question de savoir si Dieu existe ou non. La réponse est oui, d’office, car du simple fait de dire « Dieu », c’est parler d’une certaine chose, d’un certain élément de l’Univers TOTAL, l’Ensemble de TOUTES les choses. Donc par définition Dieu existe dans cet Ensemble, peu importe ce que l’on entend par « Dieu », la définition donc que l’on donne à ce mot, car c’est la définition scientifique (de la nouvelle Science) qui importe avant tout. Et à plus forte raison si l’on pose comme définition que par « Dieu » on entend précisément l’Univers TOTAL. Il existe donc dans lui-même, autrement dit il est un élément de l’Ensemble de TOUTES les choses. Il existe donc au sens mathématique, absolu, du terme exister.

Le Théorème de l’Existence, en disant que Toute chose existe dans l’Univers TOTAL, dit que Toute chose est vraie dans l’Univers TOTAL, ou que Toute chose est possible dans l’Univers TOTAL, etc. Car toute question de vérité ou de véracité, toute question de possibilité, se ramène toujours quelque part ou d’une manière ou d’une autre à une question d’existence dans l’Univers TOTAL, et celle-ci se ramène toujours à une question d’appartenance à l’Univers TOTAL, c’est-à-dire d’être élément ou pas de l’Univers TOTAL!

Autrement dit, c’est toujours quelque part une question mathématique, peu importe le domaine où la question s’est posée, en informatique, en physique, en biologie, en psychologie, en sociologie, en philosophie, en théologie, en spiritualité, en religion, en politique, en économie, etc.. Oui, tout se formule à la fin comme une question mathématique, une question de théorie des ensembles, en l’occurrence la Théorie universelles des ensembles, qui est une autre appellation de la Science de l’Univers TOTAL. Et tout se ramène toujours à la fin quelque part à une question numérique! La Science de l’Univers TOTAL donc, c’est fondamentalement la Science des nombres, la Science des vrais nombres, la vraie Science des nombres, la vraie Science du numérique, la vraie Science de l’information.

C’est ainsi si l’on travaille dans le Paradigme de l’Univers TOTAL, et il n’y a que si l’on ne travaille pas dans ce Paradigme que c’est autrement. En effet, le Théorème de l’Existence dit que toute chose existe dans l’Univers TOTAL, car l’Univers TOTAL est l’Absolu en question, et chaque fois que nous parlons d’absolu, c’est donc de lui que nous parlons. Comme synonymes, il y a les mots « universel », et même « divin ». Tous ces mots et d’autres, reçoivent à présent leurs définitions scientifiques. Et pour une chose x, être vrai dans l’absolu ou être vrai dans l’Univers TOTAL, c’est simplement dire qu’il existe un certain sous-ensemble E de l’Univers TOTAL où la valeur de vérité ou valeur de réalité de x (qui est un nombre de 0 à 1, c’est-à-dire de 0% à 100 %), est 1 ou en tout cas est supérieure à 0.5 ou 50%. Le Théorème de l’Existence assure que cet ensemble E existe, et donc que x est vrai ou est
réel dans l’Univers TOTAL.

L’idée que ce Théorème de l’Existence est faux, c’est-à-dire a pour valeur de vérité 0 ou 0%, et donc toutes ses conséquences que nous sommes en train de voir, est elle-même fausse, c’est-à-dire a pour valeur de vérité 0 ou 0%. Sa valeur de vérité n’est 1 ou 100% que dans le sous-ensemble de l’Univers TOTAL où il est nié, et ce sous-ensemble, nous l’appelons l’Univers de Négation, ou simplement l’Onivers, et le notons O, comme 0 ou Zéro. Tous ses sous-univers nous les appelons les onivers, l’Onivers O et ses sous-ensembles, les onivers donc, existent, toujours en vertu du Théorème de l’Existence. Un onivers est par définition un enfer, en langage biblique. C’est donc là que le Théorème de l’Existence est faux c’est-à-dire a pour valeur de vérité 0 ou 0%. Ce qui revient à dire que la valeur d’existence ou de réalité de Dieu (ou Univers TOTAL) dans cet onivers est 0 ou 0%.

Et de manière plus générale, la valeur de vérité du Théorème de l’Existence est inférieure à 0.5 ou 50% dans un onivers. Et de manière plus générale encore, la valeur de vérité du Théorème de l’Existence dans un sous-ensemble E de l’Univers TOTAL est par définition la mesure directe du degré de Négation (absolue) de ce sous-ensemble E.

Voici comment l’Univers TOTAL est vu depuis les vrais univers, les univers d’Affirmation ou d’Alternation, où donc la valeur d’existence, de réalité ou de vérité de l’Univers TOTAL est au moins de 50%.

Cette image a pour but de donner juste une vague idée de ce que l’Univers TOTAL se répartit en différentes zones caractérisées chacune par son degré de Négation de l’Univers TOTAL. Degré mesuré par un nombre de 0 à 1, ou 0% à 100%. D’une manière générale, la logique d’Affirmation ou d’Alternation n’est pas une logique du tout ou rien, mais une logique graduée. Selon le point de vue où l’on se place ou que l’on étudie, la graduation sera appelée valeur de vérité, valeur de réalité, valeur d’existence, valeur de possibilité, etc., ou encore probabilité. Ce ne sont que différents mots pour dire fondamentalement la même chose. Et cela s’applique aux mondes et à leurs sciences ou « connaissances » ou « gnoses », mais aussi aux êtres, comme les humains par exemple, mais aussi à ceux nommés les anges, les démons, etc.. Les zones (ou êtres) vers le noir ou le rouge sont de plus grande Négation, et les zones (ou êtres) vers le bleu ou le blanc sont de plus grande Affirmation ou Alternation.

Les notions de valeur de vérité, de valeur d’existence ou de valeur de réalité, etc., sont à mettre en relation directe avec les notions comme la probabilité de présence en physique quantique. D’une manière très générale, toutes les fois où dans les sciences classiques on parle en terme de « probabilité », se cache quelque part une question de valeur de vérité, de réalité, d’existence, etc., et donc quelque part deux sous-ensembles E et E’ de l’Univers TOTAL. En désignant par Γ la valeur de vérité (de réalité, d’existence, etc.), d’une chose x dans E, les deux ensembles E et E’ sont dits complémentaires pour la chose x si cette valeur de x dans E’ est 1 – Γ . Et de manière générale, soit A un ensemble d’ensembles. Les éléments de A sont dits complémentaires pour la chose x, si la somme de ses valeurs de vérité (de réalité, d’existence, etc.) dans les éléments de A est 1 ou 100%. Et dans ce cas x est vrai dans A (est réel dans A, existe dans A, etc.).

Par exemple, considérons l’exemple simple de lancer d’un dé non pipé à 6 faces dans notre monde.

Nous disons alors que la probabilité par exemple que la face 3 apparaisse est 1/6 ou 16.666… %. Mais ce que les sciences classiques ne comprennent pas ou ne veulent pas comprendre, c’est que cette expérience met automatiquement en œuvre 6 mondes « parallèles » de même nature que le nôtre, mais qui ne diffèrent que par le résultat du lancer du dé. Dans un c’est la face 1 qui est sortie, dans un deuxième c’est la face 2 qui est sortie, et dans le nôtre donc c’est la face 3, et dans un autre c’est la face 4, etc. pour les faces 5 et 6. Dans notre monde il s’agit effectivement de probabilité que la face 3 sorte par exemple, et elle est de 1/6 ou 16.666… %, qui est la même probabilité dans les 6 mondes, si le dé n’est pas pipé. Mais s’il est pipé, ce sera des probabilités différentes, et dans tous les cas la somme des probabilités sera 1 ou 100% dans les 6 mondes complémentaires concernés par l’expérience du lancer du dé.

Et cela, si la certitude est de 100% que l’une obligatoirement des 6 faces apparaisse dans notre monde, donc l’expérience ne prendra pas une toute autre tournure. Comme par exemple le dé roule hors du champ délimité de l’expérience où son résultat ne comptera pas, sera hors-jeu donc. Ou qu’un oiseau ou quelque animal se précipite sur le dé et l’avale pendant qu’on attendait qu’il s’immobilise et affiche le résultat. Ou quelque événement imprévu, différent des 6 attendus. Il faut s’assurer que la probabilité de cet imprévu est nulle ou extrêmement faible. Sinon il faudrait envisager un septième ensemble, dans lequel la probabilité Γ de cet imprévu est non nulle, les 6 autres mondes se partageant équitablement la probabilité 1 – Γ restante donc (1 – Γ)/6.

Ce que nous appelons donc « probabilité » est donc en fait la répartition de la valeur de vérité, d’existence, de réalité, de possibilité, etc., dans un certain nombre de sous-ensembles de l’Univers TOTAL. Ce dont on est absolument certain, c’est que la valeur de vérité, d’existence, de réalité, de possibilité, etc., dans l’Ensemble TOTAL qu’est l’Univers TOTAL, sera toujours de 1 ou 100%, ce que dit donc le Théorème de l’Existence ou Loi de la Réalité TOTALE, à savoir donc que toute chose x existe (est vraie, est réelle, est possible, etc.) dans l’Univers TOTAL, l’Ensemble de toutes les choses. La chose x peut ne pas exister (être vraie, être réelle, être possible, etc.) dans un certain contexte E de l’Univers TOTAL. Mais il existe toujours un certain contexte E’ où elle existe (est vraie, est réelle, est possible, etc.). Et au pire, E’ est l’Univers TOTAL.

La célèbre expérience de pensée du chat de Schrödinger en physique quantique obéit tout bonnement à cette Loi.

Nul besoin de discutailler pendant 107 ans, 207 ans, 307 ans, etc., à propos de cette expérience de physique quantique ou d’autres expériences, que ce soit ou non de physique quantique. Du moment où l’on parle de « probabilité » ou de notion de logique comme la valeur de vérité, ou de philosophie ou de théologie comme la valeur d’existence, de possibilité, etc., cela met automatiquement en œuvre des sous-ensembles de l’Univers TOTAL qui se partagent la valeur 1 ou 100%. Ces sous-ensembles peuvent tous être de notre monde. Ou au moins l’un d’entre eux peut être hors de notre monde. C’est le cas de cette expérience du chat de Schrödinger, si l’on considère que le chat ne peut pas être à la fois vivant et mort dans notre monde, ou ne doit pas être par exemple à moitié vivant et à moitié mort, ou vivant à 30% et mort à 70%. Si l’on pose une définition de la vie ou de la mort telle que le chat est SOIT vivant SOIT mort, sans valeur intermédiaire donc, alors s’il est vivant dans notre monde, il est donc mort dans le complémentaire de notre monde dans l’Univers TOTAL.

Ou alors aussi notre monde fait partie de l’infinité des mondes où il est vivant, et leurs complémentaires sont l’infinité des mondes où il est mort. Tout dépend des définitions que l’on pose. Et c’est le même raisonnement pour l’expérience du lancer du . La Loi est commune aux échelles macroscopiques comme microscopiques, quantiques ou non. Les séparations que l’on fait entre le domaine quantique ou microscopique d’une part et macroscopique d’autre part, sont pure illusions, du moment où l’on travaille dans le Paradigme de l’Univers TOTAL, et que l’on comprend qu’il a une nature FRACTALE, donc ce sont les mêmes lois fondamentales à toutes les échelles, microscopiques comme macroscopiques. Ce sont ces lois fondamentales, universelles, absolues, qui nous intéressent plus spécialement dans la Science de l’Univers TOTAL, et non pas les lois particulières, valables uniquement dans des contextes donnés.

L’image suivante est la manière dont l’Univers TOTAL est vu depuis l’Onivers ou Univers de Négation, ou donc l’Univers TOTAL est nié. C’est donc les zones (ou les êtres) déconnectés de l’Univers TOTAL. Le reste est une question de degré, comme précédemment.

C’est la vision des choses que l’on a en zoomant la zone noire de l’image précédente des mondes, des êtres et des sciences (ou gnoses ou connaissances). Et cette autre image est la vision quand on zoome la zone blanche. Bibliquement parlant, dans le Paradis ou Eden le point noir est le fruit interdit, le fruit de la Négation, mais le choix ou libre-arbitre est laissé de le désirer, mais avec les conséquences que cela entraînerait. On n’est pas laissé dans l’ignorance à ce propos (voir Genèse chapitres 2 et 3). L’« interdiction » ici est juste relative, car le Paradis, l’Univers TOTAL donc, est l’Univers d’Affirmation. Mais en Enfer ou Onivers ou Univers de Négation, le point blanc est interdit aussi, en ce sens que tout est fait pour qu’on ne découvre pas ce point blanc, qui est donc la Source, l’Univers TOTAL, qui est nié dans l’absolu, qui est interdit dans l’absolu, mais Interdiction ou Négation contre laquelle il faudra lutter pour retrouver le Paradis perdu, le Paradigme perdu! C’est tout le sens de la Bible expliqué enfin scientifiquement.

Si ce degré d’existence de l’Univers TOTAL est 0 dans un univers donné, alors il s’agit vraiment d’un univers ou monde de Négation, au sens absolu, c’est-à-dire un onivers absolu, un enfer absolu, ce qui veut dire que la présence de Dieu ou Univers TOTAL est 0 dans cet onivers, et alors par définition la présence du Diable, ce qui veut dire de la Négation (absolue), est de 1 ou 100 %. Dire qu’une chose est fausse dans l’absolu ou que sa valeur de vérité est 0, c’est simplement dire qu’elle est vraie dans l’absolu dans un onivers absolu, dont le degré de Négation est 100%.

Et le degré de Négation est par définition aussi la mesure du degré de déconnexion d’avec l’Univers TOTAL. Nous parlons du cas où le sous-ensemble E est un univers ou un monde. Mais il peut s’agir d’un être (humain par exemple, un ange, etc.), ou plus généralement de n’importe quelle chose. Dans tous les cas on la qualifiera de chose négative, qui est la définition scientifique de chose mauvaise. Et en particulier cela peut être un être négatif, une entité négative, etc., ce qu’on appelle couramment un démon.

L’Univers TOTAL est donc l’Ensemble de toutes les choses, de tous les objets, de tous les êtres, etc., bref il est par définition le Grand TOUT! Mais il n’est pas n’importe quoi, justement. Car il est le Grand Ensemble, l’Ensemble PLEIN, le plus grand qu’on puisse définir scientifiquement.

Le reste est une question de trouver la bonne logique scientifique pour faire la Science de cet Ensemble Suprême, la Science de l’Univers TOTAL donc. Si on l’aborde avec une logique contenant la moindre négation absolue, alors c’est mort! On entend par négation absolue, que nous noterons souvent Négation en majuscule, le fait de nier la moindre existence dans l’absolu, c’est-à-dire d’affirmer qu’une certaine chose x n’existe pas du tout ou n’existe absolument pas! Cela revient alors à dire simplement que la chose x n’existe pas dans l’Univers TOTAL, l’Ensemble de TOUTES les choses. Cela contredit alors directement le Théorème de l’Existence, c’est-à-dire l’Univers TOTAL, sa définition.

Une telle logique nie de fait le Théorème de l’Existence, donc l’Univers TOTAL. Elle est donc incompatible avec lui, oui la Négation (absolue) est incompatible avec le concept d’Univers TOTAL. C’est donc une logique d’Affirmation qu’il faut, oui, une logique d’Affirmation TOTALE, à l’image de l’Univers TOTAL lui-même et de son Théorème de l’Existence ou Loi de la Réalité TOTALE. Une telle logique est donc ce que nous appelons aussi la logique d’Alternation.

La logique d’Alternation est amplement traitée dans le premier livre: L’Univers TOTAL l’Alpha et l’Oméga et approfondie tout au long des autres livres, dont celui-ci. Et vous commencez à la découvrir, si votre découverte de la Science de l’Univers TOTAL se fait par le présent livre. La logique d’Affirmation ou d’Alternation est synonyme de relation d’équivalence (par opposition à la restreinte relation d’identité), et est indissociable de la logique fractale et la logique du cycle. C’est la logique numérique par excellence, car l’Univers TOTAL est informationnel, numérique. Autrement dit, toute chose dans l’Univers TOTAL est une information, un nombre.

L’idée que Toute chose dans l’Univers TOTAL (y compris lui-même) est un nombre, ou que Toute chose dans l’Univers TOTAL (y compris lui-même) est numérique, ou encore que Toute chose dans l’Univers TOTAL (y compris lui-même) est une information, est un théorème, qui se démontre facilement de plusieurs façons différentes. La première et la plus simple est juste de dire qu’il s’agit de la définition générale de la notion de nombre, ou de la notion d’information, comme synonyme du mot chose, une fois celui-ci posé. La seconde est simplement d’appliquer le Théorème de l’Existence, qui dit que Toute chose existe dans l’Univers TOTAL, qui est synonyme de l’idée que Toute chose est dans l’Univers TOTAL, donc en particulier l’idée que Toute chose (dans l’Univers TOTAL) est numérique ou que Toute chose (dans l’Univers TOTAL) est une information, est vraie aussi. Il existe cependant un contexte de l’Univers TOTAL où des êtres diront que cette idée est fausse, que sa valeur de vérité est 0, mais en niant l’existence d’un contexte ou l’idée est vraie, ou sa valeur de vérité est 1. Pour eux donc, la valeur d’existence de ce contexte alternatif est 0. La logique qui consiste à affirmer une chose en niant l’existence d’un contexte où l’alternative est vraie aussi, est précisément la définition de ce que nous appelons la logique de Négation.

Car il faut bien nier ce Théorème pour n’envisager aucun contexte de l’Univers TOTAL, où la vision des choses est différente, à savoir donc que Toute chose dans l’Univers TOTAL (y compris lui-même) est un nombre, une information. Il s’agit donc d’un être de l’Onivers ou Univers de Négation, qui fonctionne avec une telle logique. Mais un être de l’Univers TOTAL, connecté à l’Univers TOTAL donc, dit simplement ceci: L’idée que Toute chose dans l’Univers TOTAL (y compris lui-même) est un nombre, une information, est fausse ou niée dans l’Onivers ou Univers de Négation, mais vraie ou affirmée dans l’Univers TOTAL ou Univers d’Affirmation. Et ceci est un mode de raisonnement typique de la logique d’Affirmation ou d’Alternation, à savoir de se contenter d’affirmer les choses et leurs alternatives, sans nier aucune. On rend à chaque contexte, à chaque être, sa vérité, et donc à l’Univers TOTAL sa vérité, et à la Négation (ou Onivers) sa vérité aussi, et ainsi on exprime la Vérité TOTALE, 100% de Vérité. Autrement dit, en langage biblique, on rend à Dieu sa vérité, et au Diable sa vérité aussi, et raisonner ainsi, c’est incarner Dieu.

En effet, on voit les choses comme Dieu l’Univers TOTAL qui sait que TOUTES choses existent dans l’Univers TOTAL c’est-à-dire en son sein, que toute chose est vraie, réelle, est possible, etc. Quand on affirme ainsi TOUT, on ne nie que la Négation, et même dans ce cas cela signifie qu’on ne nie pas son existence dans l’absolu, ou qu’elle puisse être une vérité. Mais on dit qu’elle existe dans l’Onivers ou Univers de Négation, que la vérité qu’elle exprime est la vérité de Négation. Autrement dit, en langage biblique, pour le Diable, nier Dieu c’est dire qu’il n’existe nulle part, dans aucun domaine d’existence. C’est nier sa vérité, ne lui accorder la valeur 1 nulle part. Mais pour Dieu, nier le le Diable c’est dire que son lieu d’existence est l’Onivers ou Univers de Négation, ce qu’on appelle aussi couramment le Néant ou le Vide. Quand on emploie habituellement ces mots, c’est pour signifier que rien et absolument rien n’existe dans ces ensembles. Mais du point de vue de Dieu ou d’un être d’Affirmation, le Néant ou le Vide, c’est-à-dire l’Onivers, signifie simplement le lieu d’existence des choses négatives, des êtres négatifs, les incarnations de la Négation, ce que la Bible appelle donc les diables ou les démons.

Ce n’est ni plus ni moins qu’une autre formulation de l’idée de l’arithmétique ou de l’algèbre selon laquelle les nombres négatifs sont par définition les nombres strictement inférieurs à zéro. Le Théorème de l’Existence, en disant que Toute chose est numérique, permet enfin de comprendre que la logique existentielle et la logique numérique, sont une seule et même logique, deux manières différentes de dire exactement la même chose.

Nous avons du coup par la même occasion donné la troisième manière de démontrer que Toute chose est numérique, qui est tout simplement de fonctionner avec la logique d’Affirmation. Dire que Toute chose est numérique, c’est formuler une affirmation, tout simplement, qui est donc une vérité dans l’Univers d’Affirmation, qui est donc l’Univers TOTAL. Elle n’est donc niée que dans l’Univers de Négation, l’Onivers donc.

Quand on fonctionne avec la logique d’Affirmation ou d’Alternation, on affirme donc simplement les choses et leurs contraires, les choses et leurs alternatives, sans nier aucune. En logique d’Affirmation, affirmer le contraire ou l’alternative, est ce que l’on entend par nier. Il s’agit alors d’une négation juste relative, à savoir donc affirmer le contraire.

Par exemple, s’il pleut, on dit: il pleut, ce qui est une affirmation. Et s’il ne pleut pas ou il fait beau, on dit: il ne pleut pas, ou: il fait beau. C’est le contraire ou l’alternative donc de il pleut, et vice-versa. On affirme donc une chose dans le contexte où sa valeur de vérité ou d’existence ou de réalité est 1, et on affirme son contraire dans le contexte où sa valeur de vérité ou d’existence ou de réalité est 1 aussi. Et dans un contexte où ce serait 30% de vérité et 70% de fausseté, on le dit aussi. Et en logique d’Alternation, 70% de fausseté signifie 70% de l’autre vérité, de l’alter vérité ou 70% pour la vérité alternative, etc. Et dans cet autre contexte, où l’on a 70% de vérité, on a 30% de fausseté, qui est alors son l’alter vérité. Les deux contextes sont complémentaires.

L’Univers TOTAL est INFINI, bien évidemment, au sens intuitif courant du mot « infini », mais aussi au sens où nous allons largement découvrir cette notion dans ce livre sur les générescences, les nombres entiers variables, la structure de corps omégacyclique. En effet, puisqu’il est l’Ensemble de toutes les choses, il contient donc l’Ensemble de tous les nombres, et il est tout simplement cet Ensemble! Il contient donc au moins les fameux nombres entiers naturels : 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, …, qui sont en nombre infini, ce qui suffit à dire que l’Univers TOTAL contient une infinité de choses, puisqu’il contient au moins toute l’infinité des informations que sont les nombres entiers naturels : 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, …. C’est cela qui nous intéresse ici, à savoir donc les nombres.

Hubertelie


Cliquer ici ou sur l’image ci-dessus
pour télécharger le livre PDF:
Générescences, Nombres entiers variables,
Corps omégacyclique (ou cyclofractal)
et Division omégacyclique par Zéro


Source :
https://hubertelie.com/alter/Generescences-Entiers-variables-Corps-omegacyclique-Division-par-0-zero.pdf

Télécharger les autres livres :

→ L’Univers TOTAL, l’Alpha et l’Oméga
→ L’Univers TOTAL est les nombres omégaréels
→ Conception générative de l’Univers, et structure réalie
→ Les fresques de la Science Divine
→ Frescoes of the Divine Science

Publié par

AbbyEve

La source de tous les problèmes dans ce monde (covidisme, corruption et crises mondiales) : ce sont les Esprits de Négation, la définition scientifique du DIABLE. La solution (et la destination) c'est le paradigme de l'Univers TOTAL, l'Univers-DIEU. La loi Universelle de l'Amour TOTAL est nommée XERY, et c'est aussi un nouveau langage mathématique (X=Y).

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